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15/03/2009

Kuala Lumpur

Je dois bien avouer que Kuala ne me laissera pas un souvenir impérissable, même si je reconnais volontier que de la visiter en arrivant de Singapour ne fut pas à son avantage.

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Hormis le centre des affaires (et de conférences), situé tout autour des Petronas, qui lui, s'essaye à une certaine cohérence, le reste de la ville manque assez de charme. Les immeubles semble avoir poussé un peu au hasard au milieu des vestiges (parfois sympatiques) de la fin du XIXème et l'état général des constructions laisse cruellement à désirer.

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(05 et 06 février 2009)
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(Très interressant mélange de styles victorien et mauresque pour cet ancien palais de sultan qui abrite aujourd'hui la Cour suprême)
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(05 et 06 février 2009)

Le soir, quelques artères du centre ville de la capitale mettent leurs habits de lumière et la sono à fond, et offrent au touriste (ou au conférencier) de passage des bars propices à de charmantes rencontres...tarifées !

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(05 et 06 février 2009)

Une des particularité de Kuala est son métro monorail qui renvoi un peu la ville à son heure de gloire dans les années années 90,  où un developpement à tout crin lui fit partager, avec la thailande et l'indonésie, le titre de "tigre asiatique"...

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(Une façon bien originale -et chatouilleuse- de faire la toilette de ses petons, en offrant ses peaux mortes aux petits poissons. L'exfoliation version bio ....)
(Kuala Lumpur, 06 février 2009)

13/03/2009

Les Petronas de Kuala Lumpur

Mais quelle idée de faire un article sur des tours !

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(Les tours Petronas à Kuala Lumpur, depuis ma chambre d'hôtel -Trader-)

Il n'empêche que c'est bien elles qui m'ont décidé d'aller faire une escapade en Malaisie ! : De retour à Singapour, j'avais l'opportunité de passer encore quelques jours à découvrir la région. C'était un peu court pour aller en Indonésie, faire un trekking dans la jungle de Bornéo ou aller me dorer sur une plage au soleil (ce qui, voyagant seul, n'avait rien pour moi de vraiment exitant !).

Je décidais donc d'aller tout simplement visiter Kuala Lumpur, la capitale malaise, qui se trouve à moins de 4 heures de route de Singapour, et enfin découvrir ces tours jumelles mondialement connues.

Je vais commencer par m'attaquer à un mythe : Eh bien non, ces deux tours ne furent jamais les plus grandes du Monde . Il suffit de comparer les chiffres :

- les Twin-Towers du World Trade Center à New-York, innaugurées en 1973, mesuraient 526 mètres de haut avec l'antenne, et avaient 110 étages chacune.

- les Twin-Petronas de KL, innaugurées en 1998, mesurent 452 métres de haut avec l'antenne, et ont 88 étages !

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(Petronas à l'aube ; Kuala Lumpur, 4 au 6 février 2009)

Le seul titre auquel peut prétendre ces dernières, c'est d'avoir été la construction la plus haute d'Asie de 1998 jusqu'en 2004, où elle furent détronées par la Taïpei 101 de Taïwan...

De toute façon ces querelles de clocher (sic !) semblent maintenant bien ridicules depuis que la "BorJ Dubaï" (dans la ville hyponyme) culmine depuis janvier dernier à 818 mètres !!! (séjour Dubaï, juin 2008, ici et là)

Pour profiter au mieux, durant mon séjour, du charme des deux tours, j'ai cassé la tirelire (une fois n'est pas coutume !), et choisi l'hôtel le plus idéalement situé, c'est à dire juste en face...

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(Kuala Lumpur, 4 au 6 février 2009)

Il faut avouer que la construction est étonnante ; J'ai pour ma part imaginé une correllation entre l'histoire de cette ville, qui doit son essor à la découverte de gigantesque gisement d'étain au milieu XIX siècle, et le rendu des tours !  

Ces gratte-ciels doivent leur nom à la compagnie pétrolière nationale qui fut à l'origine du projet et qui occupe encore aujourd'hui une bonne partie des locaux...

Le touriste doit se contenter de la vue depuis le sky-bridge, une passerelle d'acier qui relie les deux tours à 170 mètre de haut. La visite est gratuite, après avoir visionné un petit film en 3D, tout à la gloire de... Petronas !!!

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(Kuala Lumpur, 4 au 6 février 2009)

10/03/2009

Pindaya

Le séjour à Inlé touchant à sa fin, il est temps de retourner à Yangon et prendre l'avion pour Singapour...

Avant de quitter définitivement la Birmanie, j'avais prévu une dernière visite : Pindaya et sa grotte aux 8000 bouddhas !

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Elle se trouve à 2h30 de route au nord d'Inlé, et c'était là l'occasion de découvrir une nouvelle fois la magnifique campagne environnante... 

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(Pindaya, 01 février 2009) 
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(De longs couloirs couverts mènent à l'entrée kitchissime, où une araignée géante et menacante protège l'entrée ! Il y aussi un super ascenseur panoramique !!!)
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Cette grotte, qui est un lieu de pélerinage depuis des siècles, abrite dans ses immenses cavités naturelles des milliers de bouddhas. 
Les plus anciens, dégradés par l'humidité, sont régulièrement remis en état et de nouveaux sont installés, grâce aux dons de généreux donateurs birmans ou étrangers.

Ces grottes, qui existent un peu partout en Asie, dégagent une bien étrange atmosphère. Cela est dû en partie à l'accumulation de statues, mais également aux éclairages chiches et à la chaleur moite.

De plus, le dénivelé des anfractuosités et les espaces restreints entre les bouddhas vous obligent souvent à les toucher, ce qui ne m'était pas souvent arrivé au cours de ce séjour !

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(Pindaya, 01 février 2009)
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(Les donateurs peuvent faire inscrire leur nom -ou celui de leur société- sur une petite plaquette)
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(Pindaya, 01 février 2009)
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(Un "stûppa" pour le moins original ; Pindaya, 01 février 2009)

07/03/2009

Inlé, un rêve de lac entre ciel et terre

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(Lac Inlé, Birmanie, 30 et 31 janvier 2009)

 

Les plus plus belles images de Birmanie que je garde en mémoire sont sans nul doute celles de ces pêcheurs du lac Inlé et de leurs ombres mystérieuses se détachant dans le gris-bleu du tout petit matin...

Ils semblent alors flotter entre ciel et terre ! 

 

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(Lac Inlé, Birmanie, 30 et 31 janvier 2009)
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C'est parce que le lac est peu profond que les Inthas ont développé une technique de pêche unique au monde : seuls, sur leur barques en bois, ils repèrent d'abord les poissons à l’œil nu ; comme ils ont besoin de leurs deux mains pour à la fois manier la grande nasse en bambou et refermer le piège qu'elle renferme, c'est de leur jambe qu'ils se servent afin de stabiliser ou faire avancer l'embarcation. Les gestes sont très lents et précis, ce qui ajoute encore à la magie...

 

Parfois, en groupe, ils battent l'eau avec de longues perches, et dirigent les poissons vers d'autres nasses, cette fois déposées sur la vase du fond du lac.

 

Enfin, parfois, certains utilisent tout bonnement un simple filet...

 

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(Lac Inlé, Birmanie, 30 et 31 janvier 2009)

06/03/2009

Des temples au fil de l'eau

Certe, on ne va pas sur le lac Inlé pour y découvrir des pagodes !

Néanmoins, la vie religieuse est ici la même que dans tout le pays, avec de nombreux temples et monastères...

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(31 janvier 2009)

Certains sites datant de plusieurs siècles, et fort dégradés au demeurant, nous laissent toutefois imaginer ce à quoi cela pouvait ressembler par le passé.

Ces lieux restent empreints de beaucoup de sérénité, voir d'une certaine magie, due à la multiplication des stûppas comme à In Dein (il y en aurait 1000 !), à leur situation "les pieds dans l'eau" comme à Sankar, et bien sûr, partout, à ce cadre magnifique qui les entoure...

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(In Dein, lac Inlé, 30 janvier 2009)
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(In Dein, lac Inlé, 30 janvier 2009)
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(Lac de Sankar, 31 janvier 2009)
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(Lac de Sankar, 31 janvier 2009)
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(Dans la région, on retrouve souvent un éléphant sous les doigts du Bouddha !)
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(Lac de Sankar, 31 janvier 2009)
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(Sankar, 31 janvier 2009)

05/03/2009

Inlé Land, ou les attractions du lac

Le lac Inlé a ceci de particulier qu'il est pratiquement impossible de se promener sur les berges, par manque d'infrastructures et de moyens de transport. Les petites agences proposent au mieux de petits treks dans la montagne environnante.

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Reste la visite du lac par le lac (ce qui n'est, avouons-le, pas totalement ridicule :)

On choisi donc ad minima un capitaine pour piloter une barque a moteur, et généralement son compère qui servira de guide. La visite "all include" sur le lac implique la visite, outres les marchés et certains monastères ou pagodes, de tout les artisans du coin.

Pour joindre l'utile (le business) à l'agréable (la découverte du lac), on se retrouve donc à plusieurs reprises débarqué sur des maisons flottantes où l'artisanat X ou Y nous est rapidement (voir de façon expéditive) expliqué. A l'issue de cette explication, c'est la visite du show-room qui n'est, lui, jamais très loin, et ou l'on retrouve parfois sur les rayons les mêmes produits qu'à Yangon ou Mandalay !

"Les "attractions" que j'ai vraiment apprécié :

- La fabrique d'alcool de riz. Le problème, c'est que je me voyais mal, devant prendre mon avion le surlendemain, leur acheter quelque alcool que ce soit !!!

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(Le mélange riz-eau fermenté est mis à chauffer ; La vapeur s'écoule le long du tuyau en bambou, puis se condense au contact d'un récipient à double fond qui est régulièrement remplis d'eau froide...)
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- La fabrique de cheroots, des cigares locaux faits entièrement à la main... (j'en ai fumé la moitié d'un pour faire plaisir, mais je ne suis pas allé jusqu'à acheter la botte !)

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Les attractions "bof":

- L'atelier de tissage : On tisse ici comme a peu près partout dans le monde, donc rien de vraiment original. Le seul intérêt fut de découvrir que l'on pouvait obtenir un fil à partir de la tige de lotus, pour ensuite le tisser ! C'est un travail éminemment long : Chaque tige, sectionnée sur quelques centimètres, laisse apparaître quelques minuscules filins qui sont ensuite arrachés puis ajoutés au fil principal en roulant le tout du bout des doigts. Le fil obtenu est ensuite traité et tissé comme du coton. Il faut 2000 tiges de lotus pour obtenir une toute petite écharpe, d'où le prix assez élevé du produit fini !

J'essaierais peut-être un jour avec la rhubarbe !

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- La fabrique de bijoux en argent : bof, bof, vraiment rien de spécial...

Les attractions que je n'ai pas aimé :

- Le monastère des chats sauteurs : Eh oui ! un vrai monastère, ou les chats ont appris depuis des générations à sauter dans un arceau. La démo est à heures fixes, et le touriste est gentiment sollicité à mettre la main au porte monnaie. J'ai trouvé ça nul et le monastère n'est même pas joli...

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- Un autre atelier de tissage (et son show-room, bien évidemment), où la principale "curiosité" était la présence de trois "femmes-girafe" (rien que le nom m'attriste) de l'ethnie Padaung qui n'avaient vraiment rien à faire ici, à des centaines de kilomètres de leur village ! Je me serais cru au zoo...

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Je citerais enfin cette "attraction" pas (encore) prévue au programme, mais qui m'a ravi : Au détour d'un de des ateliers cités ci-dessus, un imprimeur d'un autre siècle insérait à la main, feuille par feuille dans son antique machine, quelque flyer local !

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(Lac Inlé, 30 janvier 2009)

04/03/2009

Les marchés du lac

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(Nan Pan, 31 janvier 2009)

Un de mes rêves fou de voyageur serait de pouvoir me fondre dans le décor jusqu'à ne plus faire qu'un avec la population locale et pouvoir ainsi profiter incognito de la magie d'un lieu. Peine perdue la plupart du temps, car je suis vite repéré, comme n'importe quel touriste, à cent mètres à la ronde.

Je n'aime pas le touriste en fait et je fais toujours tout pour l'éviter. Je n'aime pas l'image qu'il me renvoie.

Je n'aime pas non plus faire des portraits des autochtones si je n'ai pas auparavant tenté, rien qu'un instant, de lier un fil même tenu avec le modèle. Mais ce n'est malheureusement pas toujours le cas, et il me semble alors voler ces photos ; Il m'en reste généralement un goût plutôt amer...

Je me mets trop souvent à la place de ses gens. Imaginez un groupe d'africains en boubous qui me ferait le portrait pendant que je choisi mon camebert à Monoprix, ou un attroupement de japonais voulant immortaliser ma dégustation d'un jambon-beurre à une terrasse parisienne !!!

Je n'aime pas trop ce côté voyeur et je me complais plus facilement perdu dans des immensités sauvages...

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A Inlé, une des solutions est d'arriver vraiment tôt sur les marchés (vers 7 ou 8h du matin), à l'heure ou les paysans ont bien mieux à faire (installation de leurs étals, achat, troc, etc...) que de vous prêter attention ; Et le touriste seul fait quand même un peu moins "tâche" que le groupe de 20 en shorts bigarés !

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(Vente de bambou, Nan Pan, 31 janvier 2009)
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(vente de pirogues, Nan Pan, 31 janvier 2009)
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(In Dein, 30 janvier 2009)

 Cela étant dit, revenons à nos marchés !

C'est, avec les longues promenades en barques à travers les cités lacustres, ce que j'ai préféré lors de de se séjour à Inlé. Si je devais ne citer qu'un de ces marchés, ce serait sans nul doute celui de Nan Pan, au sud du lac. J'y ai vraiment passé un moment extraordinaire, trop court à mon goût, préssé que nous étions à rejoindre Sankar...

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(Nan Pan, 31 janvier 2009)
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(Charron -c'était le métier de mes ancêtres au tout début du XIXème- ; Nan Pan, 31 janvier 2009)
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(In Dein, 30 janvier 2009)

03/03/2009

le lac Inlé

Il faudrait passer une bonne semaine au bord du lac pour espèrer en découvrir toute les facettes, comme par exemple les fabuleux marchés. 

Il y en a 5 à se tenir quotidiennement, mais à tour de rôle, autour du lac. Si en plus on ajoute à ce calendrier les Fêtes religieuses, il est donc pratiquement impossible pour le touriste de connaître par avance celui (ou ceux) qu'il aura la chance de découvrir lors de son séjour  de 2 ou 3 jours (quand ce n'est pas une seule journée pour les plus malchanceux d'entre eux !).

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Géographiquement, le lac Inlé se trouve au nord d'un ensemble de lacs et de canaux qui s'étendent sur plus de 100 km. Le premier lac au sud d'Inlé est celui de Sankar. Il est déjà plus difficilement accessible (obligation, outre un péage, de s'assurer les services d'un guide de l'ethnie locale Pa-ô).
Pour des raisons qui restent encore mystérieuses à mes yeux, les touristes ne sont pas autorisés à naviguer plus au sud...
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(Lac Inlé, du 29 au 31 janvier 009)
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(Des enfants de retour de l'école)
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Pour ce qui est des populations locales, c'est assez complexe, comme un peu partout en Birmanie, où des dizaines d'ethnies cohabitent.

Ces ethnies, qui peuvent compter des millions d'individus mais parfois juste quelques milliers (tableau des langues et ethnies au Myanmar), ont conservé chacune leur langue et leurs traditions. C'est surtout lors des marchés que l'on peut en découvrir plusieurs dans le même temps.

Néanmoins, c'est bien l'ethnie "intha" qui peuple principalement  les villages autour du lac Inlé. Leur mode de vie n'a semble t'il pas changé depuis des siécles, mis à part l'usage assez récent du bateau à moteur ainsi que de l'electricité (qui est encore loin d'être généralisée).

Le lac, situé à 900 mètres d'altitude (et qui offre donc un climat plutôt favorable), fait 15 km de long sur 2 à 6 de large. Sa profondeur toute relative (de 1 à 5 mètres) a permis aux inthas de developper à la fois une technique de pêche originale ainsi que la culture sur des jardins flottants.  

Ces jardins sont des bandes de terre, couvertes de végétaux divers, qui sont détachées du rivage et déplacées sur le lac. Les parcelles sont ensuite préparée (ajout de terre, binage...) puis ensemencées. Les tomates, Les haricots vert, les pommes de terre et autres salades y trouvent leur bonheur !

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Le bambou est ici le roi des matériaux et on le trouve partout, décliné sous toutes ses formes : Les maisons en sont entièrement constituées, des pilotis aux tuiles, en passant par les escaliers, les murs et les cloisons !

On le trouve aussi planté dans les jardins flottants, assurant ainsi leur ancrage sur le fond du lac...

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(Lac Inlé, du 29 au 31 janvier 009)
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(Bambouseraie)
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(Lac Inlé, du 29 au 31 janvier 009)
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(Galettes de riz qui sèchent au soleil)
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(Lac Inlé, du 29 au 31 janvier 009)

La magie du lac Inlé

Le lac Inlé, on en revient des images plein la tête......et bien sûr avec des photos plein les cartes-mémoire.

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On y peut rien, car le plaisir des yeux est partout : Sur les rives où les habitants vaquent à leurs occupations, sur le lac où les pêcheurs traquent le poisson, sur les jardins flottants ou encore sur les marchés colorés...

Il y a bien sûr aussi la magie de l'eau, celle de la montagne qui domine le lac et puis ce vert permanent.

Il y a enfin cette quiétude et ce merveilleux silence, un peu trop souvent (mais cela fait aussi parti du charme) interrompu par les pétarades des canots à moteur. 

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(Une des particularité du lac : Son modèle unique et plutôt impressionnant de canot à moteur)
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(La toilette, comme la lessive, se fait généralement au bord du lac) 
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(Comme pour le canot à moteur, un unique modèle de barque en bois à fond plat, construite ainsi depuis des siècles)
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(La plupart des villages autour du lac sont construits sur pilotis) 
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(lac Inlé, du 29 au 31 janvier 2009)
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(lac Inlé, du 29 au 31 janvier 2009)
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(Lac Inlé, du 29 au 31 janvier 2009)

28/02/2009

Couchers de soleil à Bagan

Voilà ! Le petit séjour à Bagan se termine.

Tous les soirs, traditionnellement, les voyageurs se retrouvent au sommet de l'un des stûpas pour admirer un magique coucher de soleil.

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(Bagan, 26 et 27 janvier 2009)
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Demain il me faudra plus de 8 heures, secoué par les routes défoncées qui traversent les campagnes, pour rejoindre le lac Inlé, dernière étape de ce voyage...

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(Bagan, 26 et 27 janvier 2009)