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31/03/2009

Allez, on se bouge ! ...doucement...

Je dois bien reconnaître que j'ai donné peu de nouvelles depuis mon retour d'Asie ; A croire que le jet lag a eu sur moi des effets insoupçonnés ! :)

Plus sérieusement, je dirais que je me la suis plutôt couler douce, ce qui reste un des bonheurs majeurs d'une année sabbatique !

J'ai tout de même mis ce temps à profit pour d'une part reprendre contact avec mon administration d'origine en vue d'une réintégration (inéluctable !) prévue en septembre, et d'autre part mettre au point quelques vagabondages à venir.... (dans 6 pays au cours des 3 prochains mois, si tout se déroule comme prévu...)

Pour ce qui est du boulot, on m'a déjà fait (comme je m'y attendais) quelques propositions bien différentes comme par exemple ici...

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(Mai 2004)

...ou là...

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(Photo du Net)

Je me laisse encore quelques temps pour y réfléchir...

22/03/2009

Calder à Beaubourg

Le Centre Pompidou nous propose en ce moment une bien belle exposition consacrée au travail de l’américain Alexander Calder (1898-1976), qui séjourna à Paris à la fin des Années folles.

Le sculpteur s’en retourna aux  USA en 1933, dès que retentirent les premiers bruits de bottes allemandes…

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(Helen Wills, 1927, New-York, Fondation Calder)

A New-York Calder est surtout connu pour ses illustrations (évennements sportifs, scènes urbaines ou scènes de cirque) qui sont régulièrement publiées dans la presse.

En arrivant à Paris en 1926, il commence par réaliser des nus académiques, avant de se diriger vers la sculpture. Il habite alors Montparnasse où il rencontre Man Ray, Kiki de Montparnasse et devient l'ami de Miro.

 

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Rejetant les matériaux traditionnels de la sculpture, il utilise le fil de fer pour créer des silhouettes vides et légères qui bougent dans l'espace.

Il crée son "cirque miniature" où des dizaines de figurines, faites de fil, de bois où de chiffon sont parfois animées par d’ingénieux mécanismes.

Ce qui n’est à l’origine qu’un "amusement" devient vite un véritable laboratoire d’idées nouvelles.

S’il côtoie à cette époque de grands artistes tels que Foujita, Léger, Brassaï ou Duchamp, c’est sa rencontre avec le peintre Mondrian qui sera décisive : Son travail le bouleverse et l’amènera rapidement à l’abstraction pure, puis à la création un peu plus tard de ses célèbres mobiles et sculptures géantes…

 

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(Centre Georges Pompidou/Beaubourg, 22 mars 2009)

 

Juste avant de visiter cette exposition (et après un délicieux brunch dans le Marais), nous nous sommes régalés d’un hilarant spectacle de rue, sous un beau soleil printanier. 

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(Cliquez ici pour découvrir quelques oeuvres de l'exposition -dont une vidéo du cirque-... lors de sa présentation à New-York...)

18/03/2009

No comment (2)

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16/03/2009

No comment :)

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15/03/2009

Kuala Lumpur

Je dois bien avouer que Kuala ne me laissera pas un souvenir impérissable, même si je reconnais volontier que de la visiter en arrivant de Singapour ne fut pas à son avantage.

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Hormis le centre des affaires (et de conférences), situé tout autour des Petronas, qui lui, s'essaye à une certaine cohérence, le reste de la ville manque assez de charme. Les immeubles semble avoir poussé un peu au hasard au milieu des vestiges (parfois sympatiques) de la fin du XIXème et l'état général des constructions laisse cruellement à désirer.

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(05 et 06 février 2009)
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(Très interressant mélange de styles victorien et mauresque pour cet ancien palais de sultan qui abrite aujourd'hui la Cour suprême)
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(05 et 06 février 2009)

Le soir, quelques artères du centre ville de la capitale mettent leurs habits de lumière et la sono à fond, et offrent au touriste (ou au conférencier) de passage des bars propices à de charmantes rencontres...tarifées !

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(05 et 06 février 2009)

Une des particularité de Kuala est son métro monorail qui renvoi un peu la ville à son heure de gloire dans les années années 90,  où un developpement à tout crin lui fit partager, avec la thailande et l'indonésie, le titre de "tigre asiatique"...

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(Une façon bien originale -et chatouilleuse- de faire la toilette de ses petons, en offrant ses peaux mortes aux petits poissons. L'exfoliation version bio ....)
(Kuala Lumpur, 06 février 2009)

13/03/2009

Les Petronas de Kuala Lumpur

Mais quelle idée de faire un article sur des tours !

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(Les tours Petronas à Kuala Lumpur, depuis ma chambre d'hôtel -Trader-)

Il n'empêche que c'est bien elles qui m'ont décidé d'aller faire une escapade en Malaisie ! : De retour à Singapour, j'avais l'opportunité de passer encore quelques jours à découvrir la région. C'était un peu court pour aller en Indonésie, faire un trekking dans la jungle de Bornéo ou aller me dorer sur une plage au soleil (ce qui, voyagant seul, n'avait rien pour moi de vraiment exitant !).

Je décidais donc d'aller tout simplement visiter Kuala Lumpur, la capitale malaise, qui se trouve à moins de 4 heures de route de Singapour, et enfin découvrir ces tours jumelles mondialement connues.

Je vais commencer par m'attaquer à un mythe : Eh bien non, ces deux tours ne furent jamais les plus grandes du Monde . Il suffit de comparer les chiffres :

- les Twin-Towers du World Trade Center à New-York, innaugurées en 1973, mesuraient 526 mètres de haut avec l'antenne, et avaient 110 étages chacune.

- les Twin-Petronas de KL, innaugurées en 1998, mesurent 452 métres de haut avec l'antenne, et ont 88 étages !

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(Petronas à l'aube ; Kuala Lumpur, 4 au 6 février 2009)

Le seul titre auquel peut prétendre ces dernières, c'est d'avoir été la construction la plus haute d'Asie de 1998 jusqu'en 2004, où elle furent détronées par la Taïpei 101 de Taïwan...

De toute façon ces querelles de clocher (sic !) semblent maintenant bien ridicules depuis que la "BorJ Dubaï" (dans la ville hyponyme) culmine depuis janvier dernier à 818 mètres !!! (séjour Dubaï, juin 2008, ici et là)

Pour profiter au mieux, durant mon séjour, du charme des deux tours, j'ai cassé la tirelire (une fois n'est pas coutume !), et choisi l'hôtel le plus idéalement situé, c'est à dire juste en face...

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(Kuala Lumpur, 4 au 6 février 2009)

Il faut avouer que la construction est étonnante ; J'ai pour ma part imaginé une correllation entre l'histoire de cette ville, qui doit son essor à la découverte de gigantesque gisement d'étain au milieu XIX siècle, et le rendu des tours !  

Ces gratte-ciels doivent leur nom à la compagnie pétrolière nationale qui fut à l'origine du projet et qui occupe encore aujourd'hui une bonne partie des locaux...

Le touriste doit se contenter de la vue depuis le sky-bridge, une passerelle d'acier qui relie les deux tours à 170 mètre de haut. La visite est gratuite, après avoir visionné un petit film en 3D, tout à la gloire de... Petronas !!!

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(Kuala Lumpur, 4 au 6 février 2009)

11/03/2009

Aung San Suu Kyi

Le voyage est maintenant terminé, mais je tenais à ce que ce dernier article soit consacré à Aung San Suu Kyi, seul référent à nos yeux d'occidentaux, de l'opposition à la junte au pouvoir depuis prés de 50 ans...

Je tenais aussi à livrer mes impressions (liées à la dictature) après deux semaines passées en Birmanie.

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D’abord un petit retour historique : La Birmanie fût annexée au milieu du XIXème siècle par les britanniques (comme de nombreux pays alentours à commencer par l’Inde).

Au cours de la Seconde guerre mondiale, les japonais prirent la relève, déclarant l'indépendance du pays tout en le tenant fermement  sous leur joug...

Le général Aung San (anciennement étudiant contestataire, et père de Suu Kyi), qui était alors ministre de la guerre d’un gouvernement sous tutelle nippone, changea alors son fusil d'épaule et déclara la guerre à l'Empire du soleil. Il dut ensuite bouter hors du pays les anglais qui s'y étaient entre-temps réinstallés ! Il sera le père de la "véritable" indépendance, sans pour autant jamais la connaître : Il fût assassiné par des rivaux en 1947 ! Aung San Suu Kyi n'avait alors que 2 ans...

La jeune démocratie parlementaire survivra moins de 15 ans avant d'être balayée par un premier dictateur dés 1962. C'est depuis ce jour une junte de généraux qui dirigent le pays, le dernier en date étant Than Shwe, 74 ans et plus toutes ses facultés...

Aung San Suu Kyi fera ses études en Inde (ou sa mère est ambassadrice) puis à Londres et Oxford. Elle travaillera également à New-York pour l'ONU en 1969. En 1972, elle se marie à un britannique avec lequel elle a deux enfants...

En 1988, elle retourne vivre en Birmanie, et participe activement à la création de la Ligue Nationale pour la Démocratie (LND). Elle sera arrêtée en 1989 puis laissée en liberté surveillée.

En 1990, sous la pression populaire, des élections sont enfin organisées : le LND obtient 80% des voix. La junte, totalement dépassée, décide alors d'annuler purement et simplement les résultats !

Aung San Suu Kyi, qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 1991, a vécut depuis lors en semi-liberté, en prison, ou en résidence surveillée. La junte n'a eu de cesse de lui faire quitter le pays, ce qu'elle a toujours refusé...  Son mari, gravement malade en 1997, mourra 2 ans plus tard sans avoir jamais eu le droit de revenir en Birmanie !

Les assignations à résidence sont reconduites automatiquement depuis 2003 ; Celle de l'an passé devrait échoir en mai de cette année...

A 63 ans, totalement coupée du monde dans sa maison de Yangon (qu'il n'est pas conseillé d'approcher !), elle continue de représenter aux yeux de la grande majorité des birmans ainsi que de l'opinion internationale, la seule alternative à cette junte archaïque et totalement coupée des aspirations du peuple qu'elle appauvrit année après année...

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Quand on est touriste, on ne voit pas grand chose. D'abord parce que l'on circule généralement autours d'une dizaine de "sites bien définis". Ca ne veut pas dire que les autres régions soient nécessairement interdites, mais le voyageur, devant la richesse de Mandalay ou Bagan, trouve moins de bonnes raisons de se perdre dans les campagnes...

Ces lieux "bien définis" ont l'avantage de voir passer le touriste et profiter ainsi de ses prébendes. Ils sont généralement dotés d'aéroport, d'hôtels de toutes catégories et les infrastructures y semblent convenables, ce qui n'est pas le cas dans les 80% du reste du pays...

Pour le reste, on ne peut avoir qu'une opinion fragmentaire et donc partagée. Les aéroports fonctionnent plutôt bien, mais les routes sont toutes désastreuses. L'électricité est régulièrement coupée plusieurs heures par jour, où que ce soit dans le pays, ! Les écoles semblent bien fonctionner mais il semblerait que les birmans doivent mettre souvent la main à la poche pour l'éducation de leurs enfants, et que le niveau universitaire reste quant à lui difficilement accessible (en plus d'être étroitement surveillé : comme dans toutes les dictatures, le pouvoir a une peur bleue de ses étudiants). Pour ce qui est de la santé, on n'en voit pas grand chose, mais l'incurie générale laisse imaginer le pire...

On ressent souvent la pauvreté, mais rarement la misère. Ce n’est pas comme certains pays d'Afrique, où l'accès à l'eau est un fléau. Ici, le climat l'offre en abondance et un système séculaires de réservoirs permet de la conserver entre deux saisons. Il y a bien sûr aussi les fleuves généreux et les lacs. La sécheresse n'est donc pas de mise non plus...

Ce qui choque le plus en fin de compte, ce sont ces centaines de millions de dollars cooptés par la junte au profit de son unique survie et qui pourraient permettre aux birmans d'avoir un niveau de vie très nettement supérieur. Ce qui choque vraiment, c’est cette armée de 400 000 hommes qui engloutie à elle seule 50% du PNB.

Car de richesses, la Birmanie n’en manque pas : Deux récoltes par an  (la Birmanie reste un pays agraire), du pétrole, du gaz, des bois rares, des pierres précieuses, etc.

(On ne doit malheureusement pas non plus faire l’impasse sur la culture du pavot, l’une des plus grandes sources de revenus du pays).

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Les choses, changent, mais doucement : L’internet se développe un peu et la junte est incapable de « bien » la censurer ; La télévision (et donc l’information) internationale arrivent de plus en plus dans nombres de foyers. Le touriste circule librement (même si il n’a toujours pas le droit de loger chez l’habitant). Les passages aux aéroports et aux douanes sont aussi simples qu’ailleurs dans le monde !

Pour ce qui est du travail forcé, je ne peux bien évidemment apporté aucun élément…

Deux choses enfin m’ont étonné : D’abord je n’ai pas vu un seul militaire de tout mon séjour (à se demander où ils les cachent !!!) Et jamais, mais absolument jamais, de portraits ou de statues d’un quelconque leader (comme à Cuba, en Syrie, en Egypte et j’en passe…)

Aucun culte de la personnalité… La Birmanie n’est pas la Corée du Nord !

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Deux « entités » vivent donc ici, l’une proche de l’autre, mais sans jamais se mélanger : 400000 militaires d’un côté, dirigés par une poignée de généraux, et 50 millions de birmans de l’autre. Les deux craignent vraiment l’autre et se regardent en chiens de faïence. Les militaires ont pour eux les fusils, et donc la force…mais jusqu'à quand ? Ces militaires, qui sont aussi des birmans, peuvent un jour se retourner contre leurs chefs !

De toute façon, si les choses changent, elles se feront sans ingérence directe. D’abord parce que la Birmanie n’est pas une priorité pour le reste du monde et que la Chine s’opposera toujours à un coup de force venu de l’extérieur.

En cas de boycott, se seraient les populations les plus défavorisés qui en paieraient le prix fort…

A l’heure actuelle, la seule solution pour qui veut agir, c’est de soutenir l’opposition en exil…

10/03/2009

Pindaya

Le séjour à Inlé touchant à sa fin, il est temps de retourner à Yangon et prendre l'avion pour Singapour...

Avant de quitter définitivement la Birmanie, j'avais prévu une dernière visite : Pindaya et sa grotte aux 8000 bouddhas !

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Elle se trouve à 2h30 de route au nord d'Inlé, et c'était là l'occasion de découvrir une nouvelle fois la magnifique campagne environnante... 

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(Pindaya, 01 février 2009) 
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(De longs couloirs couverts mènent à l'entrée kitchissime, où une araignée géante et menacante protège l'entrée ! Il y aussi un super ascenseur panoramique !!!)
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Cette grotte, qui est un lieu de pélerinage depuis des siècles, abrite dans ses immenses cavités naturelles des milliers de bouddhas. 
Les plus anciens, dégradés par l'humidité, sont régulièrement remis en état et de nouveaux sont installés, grâce aux dons de généreux donateurs birmans ou étrangers.

Ces grottes, qui existent un peu partout en Asie, dégagent une bien étrange atmosphère. Cela est dû en partie à l'accumulation de statues, mais également aux éclairages chiches et à la chaleur moite.

De plus, le dénivelé des anfractuosités et les espaces restreints entre les bouddhas vous obligent souvent à les toucher, ce qui ne m'était pas souvent arrivé au cours de ce séjour !

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(Pindaya, 01 février 2009)
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(Les donateurs peuvent faire inscrire leur nom -ou celui de leur société- sur une petite plaquette)
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(Pindaya, 01 février 2009)
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(Un "stûppa" pour le moins original ; Pindaya, 01 février 2009)

07/03/2009

Inlé, un rêve de lac entre ciel et terre

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(Lac Inlé, Birmanie, 30 et 31 janvier 2009)

 

Les plus plus belles images de Birmanie que je garde en mémoire sont sans nul doute celles de ces pêcheurs du lac Inlé et de leurs ombres mystérieuses se détachant dans le gris-bleu du tout petit matin...

Ils semblent alors flotter entre ciel et terre ! 

 

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(Lac Inlé, Birmanie, 30 et 31 janvier 2009)
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C'est parce que le lac est peu profond que les Inthas ont développé une technique de pêche unique au monde : seuls, sur leur barques en bois, ils repèrent d'abord les poissons à l’œil nu ; comme ils ont besoin de leurs deux mains pour à la fois manier la grande nasse en bambou et refermer le piège qu'elle renferme, c'est de leur jambe qu'ils se servent afin de stabiliser ou faire avancer l'embarcation. Les gestes sont très lents et précis, ce qui ajoute encore à la magie...

 

Parfois, en groupe, ils battent l'eau avec de longues perches, et dirigent les poissons vers d'autres nasses, cette fois déposées sur la vase du fond du lac.

 

Enfin, parfois, certains utilisent tout bonnement un simple filet...

 

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(Lac Inlé, Birmanie, 30 et 31 janvier 2009)

06/03/2009

Des temples au fil de l'eau

Certe, on ne va pas sur le lac Inlé pour y découvrir des pagodes !

Néanmoins, la vie religieuse est ici la même que dans tout le pays, avec de nombreux temples et monastères...

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(31 janvier 2009)

Certains sites datant de plusieurs siècles, et fort dégradés au demeurant, nous laissent toutefois imaginer ce à quoi cela pouvait ressembler par le passé.

Ces lieux restent empreints de beaucoup de sérénité, voir d'une certaine magie, due à la multiplication des stûppas comme à In Dein (il y en aurait 1000 !), à leur situation "les pieds dans l'eau" comme à Sankar, et bien sûr, partout, à ce cadre magnifique qui les entoure...

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(In Dein, lac Inlé, 30 janvier 2009)
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(In Dein, lac Inlé, 30 janvier 2009)
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(Lac de Sankar, 31 janvier 2009)
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(Lac de Sankar, 31 janvier 2009)
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(Dans la région, on retrouve souvent un éléphant sous les doigts du Bouddha !)
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(Lac de Sankar, 31 janvier 2009)
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(Sankar, 31 janvier 2009)